Sobre este Blog...

Blog personal de un internacionalista. En ocasiones serias entradas sobre las RR.II, la ONU y la política. En otras, no tanto... (Gandalf, Patos y cosas peores)

29 enero, 2013

Cassez, ses deux histoires [En Français, text original en Espagnol sur "Nueva Prensa"]


Première fois que j’écris en français sur mon blog !  (Donc il y aura des erreurs, désolé !) Je suis un étudiant mexicain en échange academique en France.

Ce texte est une traduction de mon propre article original dans « Nueva Prensa », le site des nouvelles des étudiants de mon université : Tecnológico de Monterrey, Campus Monterrey. J’ai fait l’article pour aider les étudiants d’un coté des histoires, et une traduction pour les étudiants de l’autre coté : Voilà la source originale : http://nuevaprensa.net/florence-cassez-sus-dos-historias/

--
FLORENCE CASSEZ, SES DEUX HISTOIRES

Le mercredi 23 janvier 2013, comme quelque autre mercredi je suis arrivé chez moi, j’ai utilisé mon ordinateur pour voir les nouvelles. ¡Et quelles nouvelles ! ¡Florence Cassez est libre ! Les réseaux sociaux ont explosé en train de discuter sur deux histoires complètement différentes. À un coté de l’Atlantic les mexicains ne comprennent pas, ils sont énervées, déçus, et ils se demandent pourquoi est ce que une français coupable est libre. De cette coté de la mer, les françaises célèbrent qui le Mexique ha pris une grande étape pour accepter la libération d’une citoyenne française innocent.

Ce petit texte, veux traiter un peux des deux histoires.

Tout a commencé le vendredi 9 décembre 2005, quand quelques nouvelles mexicaines ont traité « en temps réel » un opératif de la AFI [Agence Fédérale d’Investigation du Mexique]. Ils ont capturé certains membres d’un group de kidnappeurs qui s’appelle « EL Zodiaco ». Entre les personnes capturées on a trouvé Florence Cassez, la copine d’un des membres. Très fiers de leur succès, le gouvernement mexicain et le directeur de l’AFI dans ce moment, M. Genaro García Luna, se sentent satisfaits.  

Quelques mois après, on a trouvé que cette vidéo a été juste pour les médias. Donc, la vidéo a été fausse, et la capture a été un jour avant et dans quelques circonstances différents.

En France, le corps diplomatique a commencé à se mobiliser  pour appui leur citoyenne. Le service extérieur d’un pays a le rôle de protéger ces citoyennes. Cela implique que dans le cas d’une violation des normes, il faut trouver un procès équitable. Il suffit de dire que la France n’a été pas contente.  Premier erreur : ¿Pour quoi est ce que le Mexique n’a pas contacté le service extérieur Français, selon les conventions du Droit International, au moment où Cassez est capturé ? 36 heures ont passé après de son arrêt pour obtenir une notification. Second erreur : Le vidéo même, dans l’image publique, a pratiquement déclaré Cassez coupable. Troisième erreur : Pas tous les témoins ont identifié toujours Cassez comme coupable. Comme Denise Dresser l’a rapporté ; Christian Ramírez et Cristina Ríos Valladeres n’ont pas reconnu Cassez ni physiquement ni sa voix dans une première déclaration.

Les médias français comme Le Monde, Le Figaro et L’Express rappellent l’histoire d’une femme française perdue dans une mer d’illégitime et violations aux Droits de l’Homme. Depuis le commencement, la France avait une idée claire que le jugement ne serais pas juste et que elle serait détenu sans aucun raison.

En Mexique, les déclarations officielles traitent une histoire très différente. Genaro García Luna déclare qui le vidéo a été fait á pétition des médias. Il a été juste une manière d’expliquer le travail qui est normalement fait, et le vidéo n’avait aucune relation avec l’innocence ou culpabilité de Cassez.  Il avait clairement la raison parce que dans le gouvernement du Président Calderón il a été sélectionné comme le Secrétaire [Ministre] de Sécurité Publique. Au commencement de 2006 Casses était déclaré coupable et condamné à 96 années en prison. [Pour les mexicaines] Il était clair que quand elle travaillait dans hôtels, la jeune française obtenait des informations des victimes et elle a été partie du group des kidnappeurs. La justice était faite en Mexique, et aucun étranger n’aura la possibilité de violer notre loi.

Les deux histoires commencent a s’écraser dans l’année 2009. Nicolas Sarkozy, Président de la France du moment, a exigé le Mexique de respecter les accords internationales : le Mexique devait rapatrier Cassez. Calderón a déclaré que : « … pas pour être français est ce que quelqu’un va mériter l’impunité … ». Les tensions diplomatiques ont augmenté au tel point que dans l’année 2011 les festivals culturelles de « L’année de Mexique en France » ont été annulées [Par le gouvernement de Sarkozy] et cela a provoque des grandes pertes économiques aux organisateurs des deux pays. Les accusations ont continué entre les deux corps diplomatiques.

Alors que Cassez a continué sa long bataille. Sa peine a été réduite à 60 ans, mais sa culpabilité a continue sans doute en face du système mexicain. Diverses tentatives d’amparo  [mécanisme légaux de protection dans Mexique] ont continue, et il semblait que il n’aura de changement.

Nous arrivons au présent et les deux histoires s’écrasent une autre fois quand la Court Suprême de Justice de la Nation [Mexique] prend le cas et on prendre la décision de libérer Cassez immédiatement. 3 sur 5 juges ont été a faveur de sa libération parce que le processus de détention a été corrompu et cela avait provoqué des violations a ses droits.  

En Mexique 5 sur 10 Trending Topics [Twitter] ont une relation aux indignés pour la libération. Comment c’est possible ? Quelle est la raison ? Peut-être un pacte entre les nouvelles forces politiques qui Enrique Peña Nieto [Nouveaux Président du Mexique] a mis en ouvre ? Une des victimes déclare que « Le Mexique est un saleté de pays ». Israel Miranda Wallace [avocat reconnue] critiques la décision de la Court. Elle déclare que cette décision va ouvrir la porte aux autres impunités dans l’avenir parce que Cassez a été libéré sans être déclaré innocent, « … les victimes ne comptent pas… ». L’ambiance est d’injustice.

En France, le Président François Hollande envoie une grande félicitation au système juridique mexicain pour ne pas se tomber dans jeux de la corruption.  L’événement va ouvrir la porte à une nouvelle étape de relations franco-mexicaines [Ici je veux ajouter que la France a juste confirmé l’envoie des experts au Mexique pour la création de la nouvelle Gendarmerie mexicain]. Cassez est arrivé en France, comme une héroïne, innocent et libre.

Nous ne pouvons pas savoir maintenant si Cassez est innocent ou coupable.  Mais les deux histoires ont juste une partie de la vérité. La vérité c’est que la Court a été obligé a libérer Cassez parce que le processus a été corrompu [mais pas pour son innocence] et même aux standards mexicaines cela peut se déclarer un standard minimum des droits.

Pour les françaises j’ai quelques questions : Qui va passer maintenant ? L’innocence de Cassez a été « assumé » du commencement. Mais les victimes ont besoin de justice, il y aura un procès ? [Ou simplement elle est innocent parce qu’elle est français ?] C’est fini ici ?

Pour les mexicains : Comment nous pouvons permettre que notre système fonctionne de cette manière ? Combien des cas est ce qu’il y a ou l’évidence est modifié et il n’y a pas un corps diplomatique pour protéger les accusés ? Combien des normes est ce qu’il faut changer pour libérer les innocents et arrêter les coupables ? Qui va passer avec M. García Luna ? Quelqu’un a vu que tous les nouvelles ont parlé de Cassez, et pas de MONEX [Cas compliqué des élections mexicains]?

Peut-être dans le future il y aura une autre histoire de Cassez, maintenant nous avons deux. 

14 enero, 2013

A la Thought Catalogue

Ya hacia falta una entrada en español. Para empezar ya hace falta una en francés, pero bueno, estoy seguro que hablo mucho mejor el francés de lo que lo escribo. Así que aguántense en español. Esta entrada, por falta de mejor título, la puse al estilo Thought Catalogue. Un blog (o bueno ya mucho más profesional, desconozco la definición oficial en la que debe caer) que al parecer todos los 20yañeros comenzamos a leer casi simultáneamente (De esas cosas que pasan en la cultura de Internet, todos encuentran lo mismo por ahí de las mismas fechas).

Básicamente el tema es sobre la crisis (post)universitaria, por ende, algo que Thought Catalogue cubre en como el 50% de sus entradas. Esto por supuesto, es reflexión propia y no tiene nada que ver con nadie más. Siéntanse tranquilos en que lo que leerán es sólo la idea de UN muchacho de 22 años. No más, ni sabio, ni con experiencia, ni particularmente guapo.

En resumen, eso es. Verán, graduarte de la universidad es completamente diferente a "graduarte" de tus anteriores etapas. En la primaria simplemente sientes que ya viene lo mejor. A lo mucho cambias de escuela o tus amigos cambian. En la secundaria te conviertes en un ser odioso que cree saberlo todo, y al graduarte sientes que te puedes comer al Mundo. La preparatoria, con suerte, baja tus humos y te recuerda que hay mucho por aprender, pero te mantiene al tanto de que eres grande, toma tu última estrellita y listo para el gran viaje de la vida.

Y luego, la carrera. Aún recuerdo mi primera clase de "Intro a RRII", los primeros chilaquiles en la cafeteria, la primera profesora que me dio miedo, la primera vez que me salí de Campus a comer (badass over here) y de la nada ya estoy en mi último año de la carrera. En 365 días se espera de mí tener un trabajo y aguantar al mundo real.

A continuación voy a numerar todos los problemas que se me ocurren al respecto:
1. ¿Mundo real, qué es eso? - No he vivido el mundo real y esperan que lo sepa manejar.
2. Pasantías - Muy bien, encontré prácticas, las hice, ¿y luego? Para los recién graduados sólo hay... ¡más prácticas! Digo, imagino tarde o temprano me van a querer pagar por lo que hago verdad. ¿verdad?
3. Dinero - Ajá, una hamburguesa cuesta cuanto? Sabe qué, hoy no cenaré, buenas noches...
4. Buscar trabajo - Hola, tengo un CV increíble no quiere... ah, ¿no tiene espacios? Bueno... llámame si surge algo.
5. ¿Cuál trabajo? - La pregunta ¿qué quieres ser de grande? tiene que ser respondida AHORA. YA. A H O R I T A. ¿No sabes? ¿No?
5.1 (vaya relacionado) Encontrar un trabajo que pague (deja tú bien, que pague).
5.2 Encontrar un trabajo que te guste (algo, un poco)
5.3 Encontrar un trabajo en donde crees que puedas seguir creciendo. (Ascender, conocimientos personales, sentimiento de importancia puedes empezar 5.4 pero tarde o temprano se trata de salir.)
5.4 O simplemente resignarte a ser uno más, sacar copias, o contestar el teléfono.
6. Encontraste una pasantía... pero no en tu cuidad, y no pagan. Emmmm.... la última vez que revisé mi padre no era ni el Conde de Spada, ni el Rey Midas.
7. ¿Hay oportunidades en tú ciudad, para empezar? ¿De lo que sea?

Hay más, pero ya tengo sueño.

Otro día veremos mis compatriotas.